mercredi 25 avril 2012
vendredi 20 avril 2012
Lorsque mon papa est décédé, si brutalement, nous nous sommes tous tournés vers celle qui venait de perdre son compagnon de route depuis 50 ans : maman.
Plus encore que mon chagrin, celui de mes filles qui venaient de perdre leur unique papy adoré me rongeait, je devais être présente pour ses deux générations en grande souffrance. En adulte responsable j'ai enfouie mon propre chagrin.
Les nuits sans sommeil se sont succédées, une odeur, une silhouette.... plein de petits riens me faisait penser à lui. Pour palier à ce manque, je me suis réfugiée dans le travail, c'était, du moins j'en étais persuadée, ma bouée de sauvetage. Lorsque mon corps a réagi, la seule réponse du corps médical a été la prescription d'anti-déprésseurs, j'allais encore plus mal.
Depuis bientôt 6 ans personne ne m'a demandé comment j'allais !
Plus encore que mon chagrin, celui de mes filles qui venaient de perdre leur unique papy adoré me rongeait, je devais être présente pour ses deux générations en grande souffrance. En adulte responsable j'ai enfouie mon propre chagrin.
Les nuits sans sommeil se sont succédées, une odeur, une silhouette.... plein de petits riens me faisait penser à lui. Pour palier à ce manque, je me suis réfugiée dans le travail, c'était, du moins j'en étais persuadée, ma bouée de sauvetage. Lorsque mon corps a réagi, la seule réponse du corps médical a été la prescription d'anti-déprésseurs, j'allais encore plus mal.
Depuis bientôt 6 ans personne ne m'a demandé comment j'allais !
mardi 7 février 2012
calin
au hasard d'un tri de photo sur l'ordi j'ai retrouvé des photos des siestes "collés-serrés" d'Alvin et Capsule. J'avais envie de vous faire partager ces doux moments
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